J'ai passé une bonne heure à chercher comment faire sans trouver de documentation clé en main. Du coup, j'ai fait un petit billet pour vous livrer les quelques commandes magiques 🎉.
Sacrée aventure pour les psychés. On a vu l'enthousiasme, la criminalisation, le renouveau, la récupération. Que faire de cette histoire ? Que peut-on souhaiter aux psychédéliques ? L'intérêt des patient·es sera-t-il enfin mis au centre ? Quelques mots pour conclure.
Contre toute attente, quelques études rouvrent une brèche autour des psychédéliques à la fin des années 2000. Depuis quelques années, les études explosent et s'institutionnalisent. La presse est très enthousiaste. La légalisation est proche. Faut-il crier victoire ?
L'enthousiasme aura été de courte durée. Dès 1960, le LSD « s'échappe des labos ». Une mosaïque complexe de méfiance sociale, scientifique et politique sonne le glas pour les études psychédéliques, marginalisées puis criminalisées.
En 1960, le LSD est l'une des substances médicinales les plus étudiées au monde. On lui prête énormément de qualités, notamment en psychiatrie et en soins palliatifs. Que s'est-il passé pendant cette période méconnue ?
Les psychédéliques me passionnent, plus encore depuis que j'ai découvert les récents travaux de Zoë Dubus, qui étudie l'histoire des psychédéliques. Une introduction au sujet, quelques infos sur ma posture, mes intentions et mes sources.
Le résultat d'un atelier d'écriture lors d'un week-end de rencontre entre libristes et acteur·ices de l'éduc' pop.
Nouvelle avec contrainte : ne pas être techno-cynique 😛 (« zone d'inconfort »).